J’ai consacré ces trente dernières années à vulgariser et à transmettre des savoirs, savoir-faire, savoir être et devenir, dans le but d’offrir des options de vie aux individus par une meilleure circulation des connaissances, des idées et des réalisations de qualité.

Je l’ai fait avec beaucoup de conviction en l’humain, en sa capacité de s’impliquer, de comprendre, pour peu qu’il dispose de l’information qui saura le toucher, l’atteindre.

J’y ai appris l’humilité parce que ce chemin est chevelu et que la puissance des mots — ou leur absence — est beaucoup plus importante qu’on ne le soupçonne, et que chacun les reçoit — ou les recherche —à travers ses filtres, ses lunettes, à un moment donné de sa vie.

J’ai pratiqué cet effort de communication comme étudiante en communications et en PNL, entrepreneure, intrapreneure, éditrice, chroniqueuse, rédactrice-en-chef, professeure, auteure et blogueuse ; sur de très nombreux supports et formats ; en plusieurs langues et pour divers publics.

Pour cela, j’ai travaillé avec des milliers de collaborateurs, auteurs, universitaires, chercheurs et spécialistes, et chaque fois, nous avons touillé la matière jusqu’à sa plus parfaite fluidité afin qu’elle fasse son chemin jusqu’à l’enfant, l’adulte, le travailleur ou l’érudit auquel elle s’adressait.

J’ai plongé avec bonheur dans le ventre d’entreprises qui voulaient valoriser le courage, l’initiative et l’ingéniosité de leurs membres ; partager leur histoire, leurs valeurs, leur expérience ; ou y rattacher des gens de culture et de lieux différents alors que leur croissance et leur rayonnement l’exigeaient.

Tout ça pour vous dire que la communication, peu importe son échelle, est toujours une affaire de personnes, et l’affaire de toutes les personnes impliquées.

Alors comment se fait-il que la communication entre les personnes soit souvent difficile, inefficace? Même en famille ou entre amis?

Qu’elle se porte parfois si mal dans les entreprises et les organisations? Qu’elle soit parfois perçue comme dangereuse? Coûteuse? Superflue? Qu’elle soit réservée à sa seule fonction marketing ou d’affaires publiques? Qu’on attende souvent qu’il y ait une crise pour embaucher un premier responsable des communications?

Le manque de communication est la source de la plupart des problèmes
Isabelle Quentin met en lumière par ce dessin que le manque de communication est la source de la plupart des problèmes.

 

Pour y répondre, et pour vous offrir une grande variété d’exemples et de solutions éprouvées, j’ai choisi d’enquêter auprès d’entrepreneurs, de vice-présidents communication, marketing, du secteur privé, parapublic ou public, mais aussi de coachs et d’experts qui ont tous en commun d’avoir la communication chevillée au cœur et de la pratiquer au quotidien.

À travers mon blogue, différents produits et services, cela me permet de vous proposer une vision rayonnante de la communication d’entreprise, une communication vraie, qui circule partout, au-dedans comme en dehors.

Et de nous rappeler, individuellement, mille façons pratiques de mieux communiquer pour mieux vivre.

Pour moi, la communication est à la source de la plupart des problèmes, et elle fait toujours partie de la solution.